L’exposition sera une zone d’arrivée qui ne contraint à aucun parcours précis, à aucun ordre, à aucune perspective qui ne soit pas dépravée, instable ou mobile. Elle s’établira comme un travail situé qui s’insère dans un contexte – ici celui d’un ancien parking – et le recompose. Il pourra être question de peinture Maya, de la planète Mars, d’animal oscillant entre deuxième et troisième dimension et d’autres images respirantes.